Bien que ce soit contraire à la pensée collective, il est possible de survivre à l’explosion d’une bombe nucléaire. Pour peu que vous ne soyez pas dans la zone d’impact direct, vous avez encore une chance de survivre au souffle de l’explosion et aux retombées radioactives. Le plus célèbre des survivants à une explosion de bombe nucléaire est Eizo Nomura (1898-1982), un employé municipal qui se trouvait seulement à 170 mètres du point zéro. Il se trouvait alors au sous-sol du “Fuel Hall”, son lieu de travail, lorsque la bombe a explosé. Les autres occupants du bâtiment ont été tués.
Premièrement, regagnez au plus vite l’intérieur d’un bâtiment en béton, car il ne faudra que quelques secondes à l’onde de choc pour parcourir le peu de kilomètres qui vous séparent de l’épicentre. Ensuite, descendez au niveau le plus bas possible du bâtiment et réfugiez-vous en son au centre pour vous protéger au mieux de la vague de chaleur, des rayonnements et de tous les débris qui seront projetés par le souffle de l’explosion. Même si vos chances vous semblent dérisoires, votre instinct de survie vous enjoindra à fuir le danger et à vous protéger.
Contrairement à ce que l’on pense, une bombe nucléaire n’explose pas au contact du sol mais à quelques mètres seulement pour maximiser son pouvoir de destruction. Le souffle qu’elle engendrera éjectera des milliers de tonnes de débris dans l’atmosphère ainsi que des poussières chargées d’atomes radioactifs.
Ces poussières contaminantes seront portées par les vents dominants sur plusieurs dizaines, voire centaines de kilomètres. Ce sont elles qui causeront des vomissements, des intoxications et des cancers selon la quantité avec laquelle vous pourriez être en contact, que vous pourriez respirer ou ingérer. Pour vous protéger des contaminants radioactifs, il n’y as pas 36 solutions. Il vous faudra disposer d’un système de filtration de l’air NRBC (nucléaire, radiologique, biologique et chimique) ou à défaut d’un vrai masque à gaz NRBC et d’une combinaison NRBC. Suivez le lien pour en savoir plus sur l’acronyme NRBC.
Il vaut mieux acheter ces matériels NRBC chez un spécialiste de la construction de bunker en France. Si vous les achetez sur les grandes plateformes d’annonces en ligne, vous risquez tout simplement de vous retourner avec un produit inefficace, défectueux ou obsolète. Méfiez-vous également des masques neufs vendus sur Amazon. Ce sont la plupart du temps des masques anti-poussières vendu abusivement pour des masques à gaz NRBC. La soif de profit des uns n’a d’égal que le manque d’information des autres. Vous êtes prévenus !